MAXIME HERBAUT

« Monsieur Crousticracq, c'est moi !», aurait-il dit un jour en interview à une journaliste du magazine Chips et littérature, mais ce n'est peut-être qu'une légende.
Né dans les brumes sombres des terres du Nord, Maxime Herbaut a très tôt montré une prédisposition anormale à s'intéresser à des choses et à des personnages qui n'existaient pas. Grand amateur de films et de livres en tout genre - avec une prédilection pour le fantastique, le surréalisme et l'insolite -, il écrit les films qu'il n'a pas les moyens de réaliser et les BD qu'il ne sait pas dessiner, parce qu'à part écrire, il ne sait pas faire grand-chose, en fait...

Aujourd'hui professeur agrégé d'anglais en Seine-Saint-Denis et docteur en littérature américaine contemporaine, il continue à écrire sous divers formats des histoires à caractère fantastique, étrange ou absurde. Ses auteurs préférés sont Franz Kafka, Dino Buzzati, Jorge Luis Borges, Boris Vian, Steven Millhauser, et tout un tas de gens du même acabit. Il aime aussi beaucoup d'auteurs qui n'existent pas, et qu'il est obligé d'inventer.

Quand il n'écrit pas des romans sur les chips, il écrit des romans sur des trains qui voyagent dans le temps dans « Agravelle ou l'Envers du temps » (Inceptio Éditions, 2019) ou qui circulent entre les mondes dans « Heurtebise d'un soir » (Éditions Kelach, 2022). Et quand il n'est pas dans un train, il écrit des romans sur des Jack Russell démoniaques dans « Un Chien d'Enfer », (Éditions Crin de Chimère, 2022).


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